« Azure10month » : différence entre les versions
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Avis (provisoire) sur le cloud Azure après 10 mois |
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Dernière version du 16 mai 2025 à 14:40
Avis (provisoire) sur le cloud Azure après 10 mois
Je le dis tout de suite : c’est uniquement mon ressenti du moment, forgé par près de dix mois passés les mains dans Azure. Peut-être que je changerai d’avis demain, mais voilà où j’en suis aujourd’hui.
Stabilité
- Dans le cloud, on nous pousse sans arrêt à utiliser des services encore en preview.
- Sur le papier c’est excitant, en pratique c’est parfois bancal : on met ça en prod « faute de mieux », ça reste des années, puis Microsoft change tout ou retire le service (coucou les Failover Groups de SQL Azure).
- Résultat : galères assurées.
Coût
On pense souvent « cloud = économie », mais la réalité pique un peu :
- Plus de monde : il faut des profils pointus, donc mieux payés.
- Formation non-stop : la plateforme bouge tout le temps, on passe autant de temps à se former qu’à livrer du code.
- Tarifs à tiroirs : pay-as-you-go ici, forfait là, stockage, bande passante, région… comprendre la facture devient un métier à part entière.
On finit par optimiser les coûts plutôt que de créer de la valeur.
En bref
Le cloud, c’est top pour démarrer : tu déploies vite, tu paies à l’usage. Mais plus l’historique grossit, plus l’addition et la complexité montent. Contrairement à un serveur qu’on coupe pendant la fermeture d’été, impossible de « mettre Azure sur pause ».
Bref, avec l’expérience que j’ai aujourd’hui, j’en viens à penser qu’un petit datacenter maison, ce n’est pas si ringard. Demain je dirai peut-être l’inverse — on verra bien !